25 mai 2011

C'est quand je veux

Déjà le 343e, hélas, hélas !!!



Bonjour,
C’est du grand n’importe quoi, le ptit dup maintenant. Lundi, mardi, mercredi, pourquoi pas le dimanche pendant qu’on y est. Comme si le lecteur n’avait que cela à faire : attendre la bonne volonté de dup et qu’il produise comme il le souhaite. Les habitudes doivent être respectées, le ptit dup c’est le lundi, un point c’est tout !!!
Bien sûr (l’expression du moment, vous comprendrez plus loin), aujourd’hui c’est la sainte Sophie, alors paraître en ce jour me permet de dédicacer une belle bise à toutes mes « Sophie » du blog. dup


Résultats du dernier sondage

Pour toi, les vacances
57 % d’entre vous adorent les vacances
23 % pensent que les vraies vacances se passent sans faire la bouffe
19 % souhaitent partir loin pour leurs vacances
4 % se demandent « c’est quand les vacances ? »

Répondez vite au nouveau sondage à droite

L’idée de la semaine de Théodore

Voilà des années que je lis John Irving. Ma relation avec cet écrivain américain a débuté alors que nous étions, lui comme moi, encore jeunes. J’étais tombé alors, grâce sans doute au conseil avisé d’un copain, sur L’Hôtel New Hampshire. Cette découverte me donna envie de lire l’autre titre célèbre, Le Monde selon Garp.
Depuis, chaque fois qu’un nouveau roman apparaissait sur le rayon de mon libraire, je m’empressais de l’acquérir pour passer quelques heures agréables dans l’univers si particulier d’Irving. Puis, est venu la période où s’est installée l’impression de déjà vu qui m’a fait laisser passer quelques sorties sans me précipiter sur le nouveau bouquin. Jusqu’à il y a quelques années, où j’ai retrouvé chez l’un de mes auteurs favoris, l’essence de la magie d’autrefois et une régénération du style. Je m’en souviens, c’était avec Une veuve de papier.
Je viens de finir son tout dernier ouvrage « Dernière nuit à Twisted River », un pur produit Irving. Bien sûr, c’est un gros pavé, bien sûr, cela part dans tous les sens, bien sûr il y a un ours, la lutte, les montagnes et la forêt. Bien entendu, on retrouve cette construction si caractéristique d’Irving où tout semble prendre sa place dans un bouquet final majestueux.
Et pourtant, la surprise fonctionne toujours, je ne boude pas mon plaisir d’avoir été porté et transporté au fil des pages. Je vous conseille vivement ce voyage à travers le Nord américain à la suite d’un cuisinier et de son fils. Vous y découvrirez de fabuleux personnages que les deux héros rencontrent et aiment au cours de leurs périples en plus de 50 ans.

Théodore Crosnier

Dernière nuit à Twisted River – John Irving – Editions du Seuil


Dessin sans légende de Philippe Ma


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