29 septembre 2011

Triste semaine

Déjà le 352e, hélas, hélas !!!


Le ptit dup n’a pas toujours envie de rire.

Il y a des semaines où le désir de vous faire sourire ne s’allume pas. Dimanche, un message de Marie-Odile nous apprenait le décès de Philippe, son mari. Philippe avait 58 ans, quelques alertes ne l’avaient pas convaincu de freiner un peu son ardeur de vivre.

Je pense à certains de mes amis pour qui parfois nous nous inquiétons. La vie est belle et délicieuse souvent, est-ce qu’elle ne mérite pas qu’on fasse quelques efforts, ne serait-ce que pour profiter plus longtemps des êtres aimés. Sans pour autant renoncer à profiter du temps présent.
Nous pensons fort à Marie-Odile, à ses enfants, à ses petits-enfants et à Philippe.
dup

12 septembre 2011

Vive mes amies

Déjà le 351e, hélas, hélas !!!

Le ptit dup a des relations,
Si le ptit n’est connu que de ses amis, il a des amis connus ou qui méritent de l’être. Ainsi, cette rentrée voit la sortie de deux livres qu’il faut absolument se procurer et lire car ils sont bons et écrits par deux lectrices fidèles du blog...
Pour le reste, un long extrait qui mérite votre attention, un nouveau sondage sur votre droite et puis… c’est tout pour cette semaine.
Des bises célèbres aux amies. Dup

Y’a rien de nouveau dans ce bas monde par Benoît

Colbert: Pour trouver de l'argent, il arrive un moment où tripoter ne
suffit plus. j’aimerais que Monsieur le Surintendant m'explique comment on
s'y prend pour dépenser encore quand on est déjà endetté jusqu'au cou…

Mazarin: Quand on est un simple mortel, bien sûr, et qu'on est couvert
de dettes, on va en prison. Mais l'État…, lui, c’est différent. On ne peut
pas jeter l'État en prison. Alors, il continue, il creuse la dette ! Tous
les États font ça.
Colbert : Ah oui ? Vous croyez ? Cependant, il nous faut de l'argent.
Et comment en trouver quand on a déjà créé tous les impôts imaginables ?
Mazarin : On en crée d'autres.
Colbert : Nous ne pouvons pas taxer les pauvres plus qu'ils ne le sont
déjà.


Mazarin : Oui, c’est impossible.
Colbert: Alors, les riches ?
Mazarin: Les riches, non plus. Ils ne dépenseraient plus. Un riche qui
dépense fait vivre des centaines de pauvres.
Colbert : Alors, comment fait-on ?


Mazarin: Colbert, tu raisonnes comme un fromage (comme un pot de
chambre sous le derrière d'un malade) ! il y a quantité de gens qui sont
entre les deux, ni pauvres, ni riches… Des Français qui travaillent, rêvant
d'être riches et redoutant d'être pauvres ! c'est ceux-là que nous devons
taxer, encore plus, toujours plus ! Ceux là ! Plus tu leur prends, plus ils
travaillent pour compenser… c'est un réservoir inépuisable.



Extrait du "Diable Rouge" C'était il y a 4 siècles


A lire impérativement

La confusion des peines de Laurence Tardieu chez Stock
Les sentiments d’un père pour sa fille tiennent souvent de l’irrationnel. L’amour, l’attachement et l’admiration qu’il lui porte donnent à la filiation une saveur particulière. Le dernier roman de Laurence nous montre combien une fille peut se trouver désemparée quand elle découvre que son père, ce personnage jusqu’alors sans faille à ses yeux, se révèle un être de chair et de faiblesse, un homme normal.
Avec délicatesse, Laurence nous confie ce qu’elle a de plus intime parce que quand deux êtres ne réussissent pas à lever le voile de la parole, il ne reste que l’écrit pour rompre le silence. Avec justesse et profondeur, elle dévoile combien la relation d’amour qui l’unit à son père a du mal à s’exprimer. Dans son style riche et précis, elle trouve les mots qui s’imposent pour dire ses sentiments troublés. Pourtant, même devenue femme, une fille demeure à jamais l’enfant de son père.

Au secours ! Mon enfant rentre à l’école par Chrystelle Collin aux Editions du Rocher
Chrystelle est une amie, institutrice dans la même école que Chantal. Pour la rentrée scolaire, elle a eu la bonne idée de sortir un livre de conseils pour les parents inquiets. Si, vous avez dans votre entourage des parents dont les enfants découvrent l’école, faites-leur ce cadeau. Ils découvriront une foule de conseils utiles qu’ils soient des parents angoissés, décontractés, positifs ou pressés. Des exemples : surtout ne demandez pas à sa maîtresse où est passée la barrette de votre petite fille, elle n’en sait rien. Par contre, n’hésitez jamais à faire un magnifique cahier de vie pour un vrai plaisir partagé. Un livre sympa bourré d’anecdotes.

Avec mes sincères félicitations à toutes les deux et tous mes souhaits de belles ventes.

05 septembre 2011

C'est l'heure de la classe

Déjà le 350e, hélas, hélas !!!



Impatience,
Nous voilà presque tous de retour. La rentrée des classes reste en mémoire comme un moment particulier, tout à la fois heureux et redouté. L’appréhension de reprendre le chemin de la classe et de ses devoirs se trouvait par contre balancée par le plaisir des retrouvailles et les merveilleuses odeurs de nos nouvelles fournitures. Nous passions d’un monde ensoleillé et salé à celui noir et blanc du tableau et de la craie.
Aujourd’hui, bien entendu, j’ai une pensée particulière pour toutes mes amies instits ou profs. Je sais qu’elles possèdent tout le courage nécessaire et la passion indispensable pour s’occuper des jeunes.
Ce début de mois de septembre me donne aussi l’occasion de souhaiter un bel anniversaire à Laurent Fol (le 7), Anne-Charlotte (le 17), Julien Dup (le 19), Eric Loy (le 20) et Pierre Leb (le 26).
Une petite bise scolaire aux filles. dup

Merci Benoît

Un petit garçon paysan et son père visitaient un centre commercial.
Ils étaient abasourdis par presque tout ce qu'ils voyaient, et plus particulièrement par deux murs brillants de couleur argent qui pouvaient s'ouvrir en deux et se refermer.
Le petit garçon demanda :
- C'est quoi, Père ? Le père n'ayant jamais vu un ascenseur auparavant, répondit :
- Fils, je n'ai jamais rien vu de tel dans ma vie. Je ne sais pas ce que c'est.
Alors que le petit garçon et son père regardaient avec admiration, une vieille femme dans un fauteuil roulant avança jusqu'aux murs et appuya sur le bouton. Les murs s'ouvrirent et la dame roula jusque dans la petite salle. Les murs se fermèrent et le petit garçon et son père regardèrent les chiffres défiler séquentiellement sur un cadran au-dessus des murs.
Ils continuèrent de regarder jusqu'à ce que les chiffres se mirent à défiler dans l'ordre inverse.
Les murs s'ouvrirent à nouveau et une très belle jeune femme de 24 ans sortit.
Alors, le père murmura à son fils :
- Va chercher ta mère !


Nouvelles de Margaux

Margaux est partie pour 1 an à Atlanta cet été. Nous avons reçu de ses nouvelles qui sont excellentes. Contaminée par sa sœur, sa cousine et son oncle, elle n’a pas déroger à la règle et créer son blog que je vous recommande chaudement.

http://margotteinamerica.blogspot.com/ !


D’autres images d’Anne Fer et de Brigitte