28 janvier 2013

lecteur ou pas lecteur


Déjà le 390e, hélas, hélas !!! 

Hello,
Parfois, certains d’entre vous me posent la question. Qui lit tes messages ? Est-ce qu’il y en a qui te répondent ?
En fait, je n’en sais rien ! Vous êtes très peu à me contacter pour me le dire et je n’ai pas les moyens de vous pister. 
Combien même, je ne pousserai pas le narcissisme jusque-là !!!
Quand, je vous croise à l’occasion d’un dîner, d’une fête, d’une sortie, il n’est pas rare que vous vous excusiez, "tu sais, me dites-vous, je le lis le ptit dup », « j’aime bien même si je ne réponds pas ».
Ne vous tracassez pas. En fait, si la communication semble à sens unique, je sais que ce n’est pas le cas. 
Vous réagissez, vous souriez, parfois même vous partagez le ptit dup et en réalité c’est bien cela qui compte. Par contre, comme je ne sais pas si vous ouvrez mon message, peut-être que j’ai perdu des lecteurs depuis des années sans m’en apercevoir.
Une bise aux filles. dup


Dessins via Caroline et Benoît

Pour les instits et les médecins du groupe.




23 janvier 2013

Venise





Déjà le 389e, hélas, hélas !!! 

Ciao di Venice,

Les voyages forment la jeunesse, le ptit dup et sa famille sont de plus en plus jeunes. 
A Venise, nous avons pensé à beaucoup marcher, à tout regarder, à nous cultiver et à déguster. 3 jours en dehors du temps.
Quelques histoires un ptit peu lestes, mais édifiantes.
Des bises gondolées aux filles. dup

 



Rions un peu !

La scène se passe dans le train La Rochelle-Paris : dans un compartiment, un gars et une vieille dame.
Le gars assis mange bruyamment des crevettes roses qu'il sort d'un sac.
Il les décortique et jette les carapaces par la fenêtre du train...
La vieille femme assise en face lui dit : Pouvez-vous arrêter de faire cela ? C'est dégoûtant, ça sent très mauvais !
Le gars lui répond : Écoute Chérie! Je n'ai rien contre toi, ne m'énerve pas! J'ai payé mon billet pour ce voyage et je ferai ce que je veux dans ce train.
Sur ce, il continue de décortiquer et de manger encore plus bruyamment ses crevettes et d'en jeter les carapaces par la fenêtre.

Enfin, quand il a fini son sac de crevettes, il le jette aussi par la fenêtre et décide de piquer un petit roupillon ...
À ce moment, la petite vieille sort ses aiguilles et se met à tricoter. Le gars n'arrive pas à s'endormir à cause du cliquetis des aiguilles.

Au bout de quelques minutes, il se redresse et dit à la vieille femme : Hé Mémé! Tu ne veux pas arrêter ce bruit ? Tu ne vois pas que j'essaye de dormir !
Alors, la petite vieille lui répond : Écoute mon Chou, je n'ai rien contre toi, ne m'énerve pas! J'ai payé mon billet pour ce voyage et je ferai ce que je veux dans ce train !
Alors, le gars se lève, furax, saisit les aiguilles à tricoter de la petite vieille et les jette par la fenêtre du train.
La petite vieille se lève à son tour et tire sur le signal d'alarme.
Elle se rassoit en déchirant discrètement sa petite culotte
Le mec rigole et dit : Ha! ha! Tu vas te prendre une amende de 200 euros pour ce coup là!
Et la petite vieille lui répond : Et toi, tu vas te prendre 10 ans pour tentative de viol, lorsqu'ils auront senti tes doigts !!!!


Théorie de la Relativité

En Colombie, deux narcotrafiquants arrivent à un ranch en amenant un prisonnier. A l’intérieur, il y a un colosse noir de 1,98 m et 140 kilos de muscles, mélange de Mongol et d’Africain, qui se cure les ongles avec un grand couteau de boucher.

- Dis donc, Noiraud, le chef demande que tu encules ce prisonnier pour lui apprendre à ne pas faire le malin avec notre bande !
- OK, mettez-le dans un coin je m’en occupe tout-à-l ’heure.

Quand les narcotrafiquants s’en vont, le type implore :
- S’il vous plaît, Monsieur, ne faites pas ça, si vous m’enculez, je suis déshonoré et ma vie est finie, ayez pitié pour l’amour de Dieu
- Ferme ta gueule, pédé, et tiens-toi tranquille

Un moment plus tard, les deux narcotrafiquants reviennent avec un autre prisonnier.
 - Dis donc, Noiraud, le chef a ordonné qu’à celui-là tu lui coupes les deux mains et tu lui crèves les yeux pour lui apprendre à ne pas toucher à l’argent de la drogue
- Laisse-le là, je m’en occupe dans un instant

Une heure plus tard, ils ramènent un autre prisonnier : - Négro, à celui-ci tu lui coupes les couilles et la langue pour lui apprendre à ne plus jamais fricoter avec nos gonzesses.

- C’est bon, foutez-le dans le coin avec les autres

Finalement, ils en amènent un quatrième.

- Dis donc, Négro, celui-là tu le coupes en petits morceaux et tu envoies tous les morceaux à sa famille !
> A ce moment, le premier type dit au nègre à voix basse :
- Monsieur le Noir, s’il vous plaît, n’allez surtout pas confondre! Moi, vous devez juste m'enculer, c'est promis, hein ?

MORALITÉ : Au fur et à mesure que vous connaissez les problèmes des autres, vous vous rendez compte que le vôtre n’est pas si grave : ça c’est la Théorie de la Relativité.

14 janvier 2013

Souvenirs de Corse


Déjà le 388e, hélas, hélas !!! 

Chers tous,

Premier ptit dup de l’année, l’occasion de vous dire que j’espère que cette nouvelle année sera pour vous l’occasion de belles rencontres et de moments de partage forts. Un ptit peu d’argent ne sera pas refusé non plus.

Comment vous résumer les semaines passées. Nous avons eu beaucoup de chance !

La chance déjà d’avoir un temps magnifique pendant nos 10 jours en Corse.
Et la chance de vivre des instants absolument merveilleux. Le mariage de Pauline et Julien restera sans doute gravé à jamais dans la mémoire de tous ceux qui étaient là. Quelques photos vous en diront plus que toute ma prose.

Nous avons vécu des vrais instants de bonheur. Merci à tous ceux qui ont fait de ce séjour bonifacien une réussite. Une cérémonie profonde, une promenade en bateau extraordinaire, une soirée de rires et de tendresse. Et aussi des randonnées dans des paysages à couper le souffle, des visites dans Bonifacio et sa région, des affaires à la haute ville pour les filles, des baignades (pour certains), des apéros nombreux et des tablées joyeuses sans parler des danses jusqu’au petit matin et un record de bouteilles vidées.

Et plus que tout, des rencontres amicales, des découvertes humaines, la joie même dans les matchs de tennis perdus ou les parties de pétanque animées.
Il est difficile de tout raconter car mêmes les larmes du départ nous ont fait du bien.

Je n’oublie pas, pour autant, les anniversaires du mois : Denis Court (3), Anne Vins (15), Carole Iris Lab et Philippe H (20), Anne Dio–F (21), Carole Zir (23), Sylvie Del et Julie Gui (27), Marie-Anne Cha-Par (30).

Des bises corsées à toutes les amies. dup