17 janvier 2011

Heureux

Le p’tit dup de lundi


Le 17 janvier 2011, déjà le 328e, hélas, hélas !!!



Bonjour,
Certains d’entre vous avez la joie d’être maman ou papa. Vous savez combien cette mission peut s’avérer délicate et pour autant source de joie.
Il y a les petits soucis quand les enfants sont petits, il y a les grands soucis quand ils deviennent plus grands. Que celui ou celle qui n’a pas eu la chance d’avoir un super ado bien rebellle à la maison lève la main, quelle belle expérience, à la mesure de ce que nous avons sans doute fait endurer à nos parents. Le propre de notre mission tient surtout à faire de notre progéniture, des hommes et des femmes bien dans leur peau, aptes à se débrouiller dans ce monde de fous où nous les avons placés sans qu’ils ne nous demandent rien. Pour autant, nous les éducateurs sans diplôme, nous connaissons heureusement de belles satisfactions.

En un mot, qu’ils soient heureux, mais quel vaste programme… pour lequel vous avez peut-être des idées, mais qui le plus souvent se fera un peu "au ptit bonheur la chance".

Je me souviens de Julien, notre Juju, quand âgé d’une douzaine d’années, il nous a dit, "je serai journaliste". Je le revois partant sur son vélo faire ses reportages parfois à une dizaine de km alors qu’il était lycéen. J’entends encore sa réflexion quand j’ai eu, par le hasard de la vie, ma carte de presse qui lui demanderait à lui du sang et de la sueur.
Alors, je suis certain que vous imaginez bien le sentiment qui fût le mien, quand un samedi matin, le présentateur du JT de télématin, a eu un merveilleux sourire de conclusion qui restera marqué en moi jusqu’à la fin de mes jours.

Allez, on passe aux nouveaux vœux et à une autre histoire de vie fort jolie, plus une blague.
Évidemment, je fais une grosse bise aux filles.


Des vœux des H




Sympa

Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas.
Elle leur dit : Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger.
Est-ce que les enfants de la maison sont là ? demandent-ils.
Non, ils sont sortis leur répond-elle.
Alors nous ne pouvons pas entrer.

En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes.
Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer '!, disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.

Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison, répondent-ils. Un des vieillards explique : Son nom est 'Richesse', dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre, lui c'est 'Succès', et moi je suis 'Amour''.
Il ajoute alors, Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison. La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit. Comme c'est étrange ! S'exclament les enfants.
Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse
La mère n'était pas d'accord. Pourquoi n'inviterions-nous pas Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires...
La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour : Veux mamours, veux mamours...

Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter 'Amour' à entrer. ‘Amour’ se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent. Etonnée, la femme demande à 'Richesse' et 'Succès': J'ai seulement invité 'Amour'. Pourquoi venez-vous aussi ?
Les vieillards lui répondent ensemble : Si vous aviez invité 'Richesse' ou 'Succès', les deux autres d'entre nous seraient restés dehors, mais vous avez invité 'Amour' et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès'

MON SOUHAIT POUR TOI QUI ME LIS :
Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix,
Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée,
Où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force...
Où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage.


Normal !

- Chéri, tu peux m'aider à monter les étagères
- ça va pas, j'suis pas menuisier, moi

Le week-end suivant,
- Chéri, il y a une fuite dans la cuisine, tu peux aller voir ?
- Oulala, j'suis pas plombier, moi

Le week end suivant,
- Chéri, la lampe ne marche plus, tu peux regarder ?
- Et ho, j'suis pas électricien, moi

Le lundi soir suivant, le mari rentre du boulot
- C'est toi, Chéri ? Tu sais, les étagères sont montées, la fuite colmatée et la lampe réparée. C'est notre voisin, le jeune Thierry, qui a fait tout ça. Quel bricoleur ! Et quel blagueur aussi.

Figure toi qu'en échange, il m'a demandé, soit de coucher avec lui, soit de lui confectionner une tarte...
- Et tu lui as fait une tarte à quoi ?
- Un tarte ? Tu rigoles ! J'suis pas pâtissière, moi

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