12 juin 2012

vive le sport


Déjà le 372e, hélas, hélas !!!

Bonjour,
Même si la pluie s’est invitée pendant le week-end, le sport a été très présent, rugby (avec la victoire de Toulouse), tennis (avec celle de Nadal), foot et l’Euro pour un mois, GP du Canada…

En suivant quelques-uns de ces événements, je n’ai pu m’empêcher de constater combien la force s’affirme de plus en plus dans le sport. La carrure des ailiers et des ¾ en rugby impressionne, tout comme le bras de ces tennismen qui frappent comme des machines du fond de court. Le sport me semble bien à l’image de notre société où l’on préfère l’affrontement à la discussion, où les valeurs physiques l’emportent sur celles de l’esprit.

La politique, d'actualité depuis plusieurs mois et pour 8 jours encore, véhiculerait-elle maintenant ce genre de comportement ?
Voici qu’à droite comme à gauche apparaissent les ni-ni. L'idée qui semble les guider sous-entend : « nous avons raison, les autres ont tort, quoi qu’il se passe nous resterons sur nos positions ». Autrement dit, cela passe ou cela casse. On le sait, la vérité est souvent plus complexe que cela.

Qu’avons-nous à gagner à valoriser la force physique au détriment de la finesse si ce n’est à développer encore davantage l’individualisme. Je me souviens avoir vu John Mac Enroe à Roland Garros, ce joueur fantastique au toucher de balle incomparable. Il n’a jamais gagné ce tournoi me direz-vous, oui mais combien d’autres. Je me souviens du ballon ovale qui volait de mains en mains du temps de la French touch. C'est beau le sport quand il se hisse au niveau de l’art.

De douces bises aux filles. dup 



à propos, une expo et une pièce à voir

J'ai aussi une super pièce que vous devez tous voir car elle est jouée par un jeune ami, plein de talent, Jean Adrian. 
Tout commence lors d'une nuit triste, sur l'un des sublimes ponts que possèdent l'incroyable ville de New-York. Harry Berlin a décidé de se suicider, en se jetant par dessus le parapet. Soudain, Milt Manville, un de ses anciens amis d'Université, débarque par hasard sur ce pont, et réussit à le faire descendre de là. Commence alors le récit de leurs désespoirs amoureux. Berlin a alors l'idée de pousser sa femme, Ellen, dans les bras de son vieil ami...
Une histoire loufoque et décalée du mardi au samedi à 21h, et le samedi à 15h.
Profitez du tarif exceptionnel de 16 €, au Théâtre du Petit Saint-Martin, 17, rue René Boulanger, 75010 Paris


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