25 octobre 2012

le partage


Déjà le 381e, hélas, hélas !!!

Bonjour,
J’ai déambulé dans les couloirs de la Sorbonne pendant 3 jours. J’y ai croisé anciens soixante-huitards, des philosophes éclairés, quelques scientifiques avisés, beaucoup humanistes sympathiques et un religieux étonnant. J’en ai pris plein des oreilles au cours d’une dizaine de conférences sur le thème du partage, extraits : 
« La générosité est la vertu qui consiste à donner à ceux que l’on n’aime pas… La difficulté tient souvent au fait de concilier la pensée et l’action puisque l’une est de l’ordre de la patiente alors que l’autre est dans l’urgence. » André Comte Sponville
« Le partage c’est faire de la place à l’autre. »
« On peut respecter quelqu’un qu’on n’aime pas mais on ne peut pas aimer quelqu’un qu’on ne respecte pas. » Marek Halter
« Plus on donne, plus on est léger. » Odon Vallet
« Le vrai partage, c’est celui du savoir. » Jacques Attali
Je vous engage à aller écouter les débats qui sont maintenant sur internet, cela demande du temps mais, c’était vraiment bien, notamment ceux, sur le voyage le vendredi, « comment se préparer à l’improbable » et Carlos Ghosn, quelques passages d’Isaac Getz le samedi, « Aimer, partager et transmettre », le dimanche.


Le saviez-vous : « 61 % des personnes viennent travailler pour partir », Isaac Getz.

Un nouveau sondage à droite. Des bises réfléchies aux amies. dup


Partage d’Aude et Benoît

Nous sommes allés voir ce spectacle à La Pépinière Opéra, c’est super !!!


et de la part de Marie-Odile

Deux blondes stagiaires dans une petite société maritime, ont pour tâche de mesurer la hauteur d'un mât. Elles sortent et se rendent au mât avec les échelles et les rubans à mesurer.

Tour à tour, elles tombent de l'échelle ou laissent tomber le ruban à mesurer.

Un ingénieur passe par là et voit ce qu'elles essaient de faire.

D'un geste moqueur il tire le mât hors de la terre, le met à plat, le mesure de bout à bout et enfin donne la mesure à une des blondes, puis il s'en va.

Après que l'ingénieur soit parti, la blonde se tourne vers l'autre et dit en riant :

- Ça c'est bien un ingénieur. Nous cherchons la hauteur et il nous donne la longueur ! Quel con !!!!!!!

16 octobre 2012

et de 6


Déjà le 379e, hélas, hélas !!! 

Hello,
Mariage pluvieux, mariage heureux. Dans la famille, nous en sommes au 3e civil mais, ne  nous ne  souhaitez pas d’en venir au pénal.
Si je me mets à faire du Pierre Dac, rien ne vaut l’original. Et quand je fais du Crosnier, sachez que certaines m’écoutent et courent chez le libraire ou leur disquaire. Quel honneur !!!

Des bises de pluie pour les amies. dup


Merci Pierre Dac de la part de Brigitte

Il ne faut pas avoir peur des chevaux sous le capot mais de l'âne derrière le volant.


Belle-mère à l'arrière, voyage en enfer.

Ce ne sont pas les enfants sur la banquette arrière qui font les accidents, mais bien les accidents sur la banquette arrière qui font des enfants.


Il ne faut pas boire au volant, il faut boire à la bouteille.

L'argent n'a pas d'odeur mais, quand on n'en a pas, ça sent la merde.
Quand tu t'adresses à une femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment.

Les femmes qui se vantent d'être courtisées par beaucoup d'hommes ne devraient pas oublier que, les produits à bas prix attirent beaucoup de clients.


La cravate est un accessoire permettant d'indiquer la direction du cerveau de l’homme.


Les hommes sont comme des arbres : avec l'âge, ils deviennent dur de la feuille et mou de la branche.


Si un homme ouvre la portière de sa voiture à sa femme, c'est que l'une des deux est neuve.


Pour les riches : des couilles en or. Pour les pauvres : des nouilles encore.


Le suppositoire est une invention qui restera dans les annales.


Un comprimé n'est pas forcément un imbécile récompensé.


Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira, dites lui que la peinture sur le banc n'est pas sèche, et il aura besoin de toucher pour en être sûr.


Certains jouent aux échecs, d'autres les collectionnent.
Il n'a pas inventé la poudre, mais il n'était pas loin quand ça a pété.


Vive la Savoie libre par Benoît





L’idée de Théodore Crosnier

Le onzième roman de William Boyd aborde le genre de l’espionnage sous une forme romanesque pleine de dialogues.

Lysander Rief, un jeune comédien anglais, vient suivre une psychanalyse à Vienne. Dans le cabinet du médecin, il croise une jeune femme hystérique, c’est le début d’une histoire aux multiples rebondissements pendant la première guerre mondiale, de Londres à Genève en passant par les tranchées en France.


Pour évoquer les prémices de la psychanalyse, la violence de la guerre, les troubles de l’homme, William Boyd passe d’un chapitre écrit par «il» au «je», et de temps en temps au «tu». 

Le saviez-vous, c’est lui qui doit écrire le prochain James Bond.

L’attente de l’aubeWilliam Boyd – Editions du Seuil



08 octobre 2012

Un peu de culture pour changer


Déjà le 378e, hélas, hélas !!! 

Bonsoir,
Pour les parisiens et les provinciaux courageux, il y a un événement super intéressant les vendredi 19, samedi 20 et dimanche 21 octobre prochains : la cité de la réussite. 
Il s’agit d’un forum sur trois journées de débats culturels, économiques, scientifiques et politiques. Les intervenants sont de haut niveau et l’entrée accessible à 6 euros par débat. 
Cela se passe à la Sorbonne, par contre, il faut se dépêcher car certains débats sont déjà complets.

Cette année, le thème porte sur le partage. 

Je vous donne le site : http://www.citedelareussite.com/ 

J’y vais le vendredi et le samedi. Petit détail familial, Charlotte travaille à la préparation de ce forum dans le cadre d’un contrat de deux mois.

Pendant que je suis à l’actualité familial, avez-vous aimé la musique de Tim ?

Des bises culturelles à mes amies. dup


Eric LM se moque

CHERCHONS COUTURIÈRE SACHANT FAIRE DES OURLETS AUX PANTALONS

 
ADRESSER C.V au PALAIS de l'ELYSÉE





01 octobre 2012

livres et muisque





Déjà le 377e, hélas, hélas !!!


coucou,
Un ptit dup avec tonalités musicales et jeunes. Cela vous dit ? Non, bon à la semaine prochaine.
Oui, alors voici un lien vers le Tim dup qui a mis quelques notes acoustiques sur myspace, un clin d’œil à Jean-Philippe Blondel dont les livres m’accompagnent depuis quelques mois et une blague bien potache.
Octobre fécond si j’en juge par les anniversaires à souhaiter, Vincent Thie (3), Isabelle Pit (5), Marie Land (14), Isabelle de (15), Martine Lor (16), Evelyne Maiz (23), Colette Iris (30) et enfin, Sabine Bou (31).

Des bises aux filles. dup


L’idée de Théodore Crosnier

Je vous ai déjà parlé de Jean-Philippe Blondel et son livre bouleversant « Et rester vivant ». J’ai découvert en quelques mois, d’autres romans de ce prof d’anglais. Ils sont tous attachants, drôles et féroces à la fois. Alors, n’hésitez surtout pas à en faire l’emplette chez votre libraire ou à les emprunter dans votre bibliothèque favorite ou enfin à les piquer chez un copain si vraiment vous n’avez pas un sou. Il ne sera pas dit que vous passerez à côté de ce plaisir uniquement par manque d’argent.
Peu importe par lequel vous commencerez votre série Jean-Philippe Blondel, ce peut être, Le baby-sitter et l’histoire d’un étudiant fauché qui, ne parvenant pas à remplir son frigo, propose ses services pour des baby-sitting. Une annonce à la boulangerie et son existence est bouleversée tout comme il modifie celles de ses « employeurs ». 
Ou pourquoi pas G229, la propre histoire de l’auteur qui prend ses fonctions de prof d’anglais en 89 dans la salle G229 d’un lycée et s’y trouve toujours 20 ans après avec quelques souvenirs bien colorés en plus. A moins que vous ne préfériez Accès direct à la plage qui raconte les vacances de plusieurs personnes sur quatre décennies dans différentes stations balnéaires. La construction originale du roman rappelle les films de Lelouch.
Et pour les ados, je conseille (Re)play, un roman musical sur l’amitié ou Qui vive ? un livre avec des photos de Florence Lebert  sur la relation avec les parents qui peut s'avérer difficile et pourtant nécessaire pour se construire.


Ecouter un peu Tim ?

J’avoue une petite préférence pour Wide Open Spaces.


Vive le rail !

Comme dit la légende envoyée par Benoît, « la personne qui a programmé le tableau d'affichage devait penser à ses problèmes de string !!!
 Les clients, eux, espèrent qu'il n'y aura qu'un poil de retard, car ils pourraient commencer à en avoir plein  le cul… !!! Tiens, tiens. »