Déjà
le 379e, hélas, hélas !!!
Hello,
Mariage pluvieux, mariage
heureux. Dans la famille, nous en sommes au 3e civil mais, ne nous ne souhaitez pas d’en venir au pénal.
Si je me mets à faire du
Pierre Dac, rien ne vaut l’original. Et quand je fais du Crosnier, sachez que
certaines m’écoutent et courent chez le libraire ou leur disquaire. Quel
honneur !!!
Des bises de pluie pour
les amies. dup
Merci Pierre
Dac de la part de Brigitte
Il ne faut pas avoir peur des
chevaux sous le capot mais de l'âne derrière le volant.
Belle-mère à l'arrière,
voyage en enfer.
Ce ne sont pas les enfants
sur la banquette arrière qui font les accidents, mais bien les accidents sur la
banquette arrière qui font des enfants.
Il ne faut pas boire au
volant, il faut boire à la bouteille.
L'argent n'a pas d'odeur
mais, quand on n'en a pas, ça sent la merde.
Quand tu t'adresses à une
femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment.
Les femmes qui se vantent
d'être courtisées par beaucoup d'hommes ne devraient pas oublier que, les
produits à bas prix attirent beaucoup de clients.
La cravate est un
accessoire permettant d'indiquer la direction du cerveau de l’homme.
Les hommes sont comme des
arbres : avec l'âge, ils deviennent dur de la feuille et mou de la branche.
Si un homme ouvre la portière
de sa voiture à sa femme, c'est que l'une des deux est neuve.
Pour les riches : des
couilles en or. Pour les pauvres : des nouilles encore.
Le suppositoire est une
invention qui restera dans les annales.
Un comprimé n'est pas forcément
un imbécile récompensé.
Dites à quelqu'un qu'il y
a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira, dites lui que la
peinture sur le banc n'est pas sèche, et il aura besoin de toucher pour en être
sûr.
Certains jouent aux échecs,
d'autres les collectionnent.
Il n'a pas inventé la
poudre, mais il n'était pas loin quand ça a pété.
Vive la
Savoie libre par Benoît
L’idée de Théodore
Crosnier
Le onzième roman de
William Boyd aborde le genre de l’espionnage sous une forme romanesque pleine
de dialogues.
Lysander Rief, un jeune
comédien anglais, vient suivre une psychanalyse à Vienne. Dans le cabinet du médecin,
il croise une jeune femme hystérique, c’est le début d’une histoire aux
multiples rebondissements pendant la première guerre mondiale, de Londres à Genève
en passant par les tranchées en France.
Pour évoquer les prémices de la
psychanalyse, la violence de la guerre, les troubles de l’homme, William Boyd
passe d’un chapitre écrit par «il» au «je», et de temps en temps au «tu».
Le
saviez-vous, c’est lui qui doit écrire le prochain James Bond.
L’attente de l’aube – William
Boyd – Editions du Seuil
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