16 octobre 2012

et de 6


Déjà le 379e, hélas, hélas !!! 

Hello,
Mariage pluvieux, mariage heureux. Dans la famille, nous en sommes au 3e civil mais, ne  nous ne  souhaitez pas d’en venir au pénal.
Si je me mets à faire du Pierre Dac, rien ne vaut l’original. Et quand je fais du Crosnier, sachez que certaines m’écoutent et courent chez le libraire ou leur disquaire. Quel honneur !!!

Des bises de pluie pour les amies. dup


Merci Pierre Dac de la part de Brigitte

Il ne faut pas avoir peur des chevaux sous le capot mais de l'âne derrière le volant.


Belle-mère à l'arrière, voyage en enfer.

Ce ne sont pas les enfants sur la banquette arrière qui font les accidents, mais bien les accidents sur la banquette arrière qui font des enfants.


Il ne faut pas boire au volant, il faut boire à la bouteille.

L'argent n'a pas d'odeur mais, quand on n'en a pas, ça sent la merde.
Quand tu t'adresses à une femme, il faut un sujet, un verbe et un compliment.

Les femmes qui se vantent d'être courtisées par beaucoup d'hommes ne devraient pas oublier que, les produits à bas prix attirent beaucoup de clients.


La cravate est un accessoire permettant d'indiquer la direction du cerveau de l’homme.


Les hommes sont comme des arbres : avec l'âge, ils deviennent dur de la feuille et mou de la branche.


Si un homme ouvre la portière de sa voiture à sa femme, c'est que l'une des deux est neuve.


Pour les riches : des couilles en or. Pour les pauvres : des nouilles encore.


Le suppositoire est une invention qui restera dans les annales.


Un comprimé n'est pas forcément un imbécile récompensé.


Dites à quelqu'un qu'il y a 300 milliards d'étoiles dans l'univers et il vous croira, dites lui que la peinture sur le banc n'est pas sèche, et il aura besoin de toucher pour en être sûr.


Certains jouent aux échecs, d'autres les collectionnent.
Il n'a pas inventé la poudre, mais il n'était pas loin quand ça a pété.


Vive la Savoie libre par Benoît





L’idée de Théodore Crosnier

Le onzième roman de William Boyd aborde le genre de l’espionnage sous une forme romanesque pleine de dialogues.

Lysander Rief, un jeune comédien anglais, vient suivre une psychanalyse à Vienne. Dans le cabinet du médecin, il croise une jeune femme hystérique, c’est le début d’une histoire aux multiples rebondissements pendant la première guerre mondiale, de Londres à Genève en passant par les tranchées en France.


Pour évoquer les prémices de la psychanalyse, la violence de la guerre, les troubles de l’homme, William Boyd passe d’un chapitre écrit par «il» au «je», et de temps en temps au «tu». 

Le saviez-vous, c’est lui qui doit écrire le prochain James Bond.

L’attente de l’aubeWilliam Boyd – Editions du Seuil



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