26 novembre 2012

2012, année Dylanienne



Déjà le 384e, hélas, hélas !!! 

Bonsoir,
Cette semaine, Théodore vous fait part des ses écoutes musicales. A prendre et à laisser. Une bonne nouvelle aussi, dans un mois les jours vont à nouveau allonger. Quelques photos bien vintage en prime et deux autres pour lesquelles on se demande si le photographe l’a pris dans l’œil ou dans le nez.
Des bises sonores aux amies les filles. dup


2012, année Dylanienne

Tout commence en mars quand la Cité de la musique rend hommage au chanteur américain qui a chamboulé le rock dans les années 60.  De mars à juillet, des milliers de visiteurs viennent découvrir les années 61-66 de Bob Dylan. Le plus étonnant est d’y voir de nombreux ados, des jeunes et leurs parents. Toutes générations confondues, on y écoute avec attention les premières chansons du song writter, on admire les photos de Daniel Kramer. Puis, en septembre paraît "Tempest", son 35e album studio. A 71 ans, dont 50 sous le nom de Bob Dylan, il livre 10 chansons dont certaines rentreront sans doute au panthéon dylanien. Le style demeure, même si la voix parfois s’écorche.
Longtemps considéré comme «le fils de», Jakob Dylan et son groupe californien, The Wallflowers ont sorti leur sixième album, Glad All Over, en octobre. Après une pause de sept ans, cet opus porte plutôt bien son nom. Sans révolutionner le genre, le groupe livre de bonnes chansons folk rock, de belles mélodies et des blues bien rythmés. Quand on lui a demandé, avez-vous parié à savoir lequel des deux, entre l’album de son père et le sien, serait meilleur, Jakob répond « mon pari serait perdu d’avance, cher ami ».
Pas facile d’être le fils, pas simple non plus d’être traducteur. Voilà sans doute, ce qu’a pu penser notre Francis national en se lançant dans son hommage dylanesque. Il faut saluer le courage, transcrire de véritables mythes constitue un exercice compliqué. Francis Cabrel y parvient mieux avec les titres moins connus et il convient de remarquer une interprétation musicale à la hauteur.
Et puis, l’important dans tout cela n’est-il pas de donner envie au plus grand nombre l’envie de se distiller du Dylan entre les oreilles ?

Théodore Crosnier














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