16 mars 2009

Nous sommes tous des enfants

Le p’tit dup de lundi


le 17 mars 2009, déjà le 252e, hélas, hélas !



Trop vite,
Le temps passe, hier encore j’avais 20 ans chantait Charles, hier encore j’avais mes enfants petits autour de moi. Le temps défile bien vite, bientôt le temps des petits enfants, heureusement j’ai le « contact » facile avec les enfants tout petits, pas vrai Colombe. Et il passe si vite qu’une semaine semble ridicule, à peine le temps de croiser ses enfants, déjà ils sont partis. Heureusement, il y le net, les chroniques de slate.fr et les reportages du JT de France 2 qui repassent. Heureusement, les mails ne remplacent pas la chaleur d’une conversation, alors le temps passe et pour le retenir, on écrit vite, vite sur un blog, des nouvelles du ptit dup et des copains, des amies.
Vite une bise aux filles. dup
PS : merci Aude d’avoir actualisé ton blog

La phrase de la semaine par Eric
Si vous vous trouvez trop grosse, c'est que vous l'êtes probablement. Inutile de nous le demander.

La première histoire d’un blond par Isabelle de Sch

Elle a tardé mais elle en vaut vraiment la peine.
Un Ecossais, un Mexicain et un homme blond travaillent sur un chantier de construction, à la hauteur du 20e étage.
Ils mangent leur repas et l'Ecossais dit, encore du chou et du corned-beef !!! Si j'en ai encore une fois pour diner, je me jette en bas de l'édifice.
Le Mexicain ouvre sa gamelle et s'exclame: encore des Burritos !!! Si j'en ai encore une fois je me jette aussi en bas.
Le blond ouvre aussi son sac et dit:' Encore du jambon !!! Si moi aussi j’ai encore un seul autre sandwich au jambon je sauterai aussi.
Le lendemain, l'Ecossais ouvre sa boite à repas, voit le chou et le corned-beef et se jette dans le vide.
Le Mexicain ouvre sa gamelle, regarde son Burrito et saute lui aussi.
L'homme blond ouvre son sac, vois son sandwich au jambon et se précipite dans le vide.
Le jour des funérailles, l'épouse de l'Ecossais, pleure. Elle dit :
- Si j'avais su qu'il ne voulait plus voir son corned-beef et le chou je ne lui en aurais jamais plus donné.
L'épouse du Mexicain pleure aussi et dit:
- J'aurais du lui donner des tacos ou des Enchiladas! Je ne me suis jamais doute qu'il détestait autant les Burritos.
(Oh la suite est bonne)

Tout le monde se tourne et regarde la femme du blond. Celle-ci s’exclame alors:
- Ne me regardez surtout pas ! Cet idiot faisait lui-même ses sandwichs !!!



Une idée de Sylvie Tac
Si, tu es encore à Paris, il y a une expo photo que j'ai vue il y a quelques semaines et qui m'a emballée : Les américains de Robert Frank, suivi des Parisiens toujours dans la même expo, Musée du Jeu de Paume. Des bises. Sylvie.


Des conseils d’Anne Vins
La photo est de Sandra et Laurent en vacances à La réunion

Tiens, si ça intéresse la ligne éditoriale du p'tit dup que je découvre régulièrement avec plaisir, un texte que j'ai reçu et qui m'a bien fait rire, tellement je suis... méchannnnttte ! lol

"A TOUS LES « PARENTS MECHANTS » !

Un jour, quand mes enfants seront assez vieux, pour comprendre la logique qui motive un parent, je vais leur dire, comme mes parents méchants m'ont dit:
Je t'ai aimé assez pour te demander où tu allais, avec qui, et quand tu serais de retour à la maison...
Je t’ai aimé assez pour être patient(e) jusqu'à ce que tu découvres que ta nouvelle meilleure amie ou ton grand copain n’était pas fréquentable...
Je t'ai aimé assez pour me tenir planté(e) là dans le cadre de porte pendant deux heures tandis que tu nettoyais ta chambre, une affaire de 15 minutes en principe !
Je t'ai aimé assez pour te laisser voir la colère, la déception et les larmes dans mes yeux : les enfants doivent apprendre que leurs parents ne sont pas parfaits.
Je t’ai aimé assez pour te laisser assumer la responsabilité de tes actions même lorsque les pénalités étaient si dures qu’elles ont presque brisé mon cœur.
Mais surtout, je t’ai aimé assez pour dire NON même quand je savais que tu me détesterais pour ca. Telles étaient les batailles les plus difficiles de toutes.
Je suis heureux(se) de les avoir gagnées, parce qu’à la fin, tu y as gagné aussi. Et un jour, quand tes enfants seront assez vieux pour comprendre la logique qui motive des parents « méchants », tu leur diras :
Vos parents étaient ils méchants? Les miens l’étaient. J’ai eu les parents les plus méchants du monde entier ! Pendant que d’autres enfants mangeaient des sucreries pour les repas, j’ai du manger des céréales, des œufs, et des légumes.
Quand d’autres ont eu du Coca et des hamburgers pour le diner, j’ai du manger de la viande, du fromage, des crudités et des fruits.
Et vous pouvez deviner que ma mère m'a fait des diners qui étaient différents de celui des autres enfants.
Mes parents ont insisté pour savoir où j’étais en tout temps. On aurait pu croire que j’étais enfermé(e) dans une prison. Ils devaient savoir qui mes amis étaient et ce que je faisais avec eux.
Ils insistaient si je disais que je serais partie pour une heure, pour que ce soit seulement une heure ou moins. J’avais honte de l’admettre, mais mes parents ont enfreint la loi sur la protection des enfants concernant le travail :
J’ai du faire la vaisselle, mon lit (quelle horreur!), apprendre à faire la cuisine, passer l’aspirateur, faire ma lessive, repasser mon linge, vider les poubelles et toutes sortes d’autres travaux cruels.
Je pense qu'ils se réveillaient la nuit pour imaginer de nouvelles tâches à me faire faire.
Ils ont toujours insisté pour que je dise la vérité, juste la vérité et rien que la vérité.
Au moment où je suis devenue adolescent(e), ils pouvaient lire dans mon esprit et avaient des yeux tout le tour de la tète.
Puis, la vie est devenue vraiment dure !
Mes parents ne laissaient pas mes amis juste klaxonner quand ils venaient me chercher. Ils devaient venir à la porte pour qu’ils puissent les rencontrer.
Pendant que chacun pouvait fréquenter un ou une petit(e) ami(e) quand ils avaient 12 ou 13 ans, j'ai du attendre d’être majeur(e) ou « fréquenter » en cachette.
A cause de mes parents, j’ai manqué beaucoup de choses que d’autres enfants ont expérimentées.
Je n’ai jamais été pris(e) pour vol à l'étalage, vandalisme, alcoolisme ni même arrêté(e) pour tout autre crime.
C’était « tout de leur faute ». Maintenant que j’ai quitté la maison, je suis instruit(e) et un(e) adulte honnête. Je fais de mon mieux pour être un parent méchant comme mes parents l’étaient." 
Anne



Une nouvelle chronique de la Parisienne

La Parisienne 2


Un rendez-vous, vendredi 20 mars ou samedi 21 mars pour les Rambolitaines, une super vente organisée par Dominique chez Anne de 9h à 18 h au rue du 60 rue Général de Gaulle à Rambouillet

Bonjour à toutes et tous,
Dans la vie il n'y a pas que la peinture et le dessin. Alors pour varier les plaisirs, testons le cuir..... J'accueille mon amie Dominique Cottier qui nous présentera sa nouvelle collection de cuirs.
Venez nombreuses et nombreux et n'hésitez pas à passer l'invitation autour de vous.
A très bientôt. Anne GF



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